36. Quand il m'a dit le nom de la femme, j'ai vu que c'était une Mauresque. J'ai fait la lettre. Je l'ai écrite un peu au hasard, mais je me suis appliqué à contenter Raymond parce que je n'avais pas de raison de ne pas le contenter. Puis j'ai lu la lettre à haute voix. Il m'a écouté en fumant et en hochant la tête, puis il m'a demandé de la relire. Il a été tout à fait content.
37. Il m'a dit: «Je savais bien que tu connaissais la vie.» (он мне сказал: «Я знал хорошо = так и думал, что ты знаешь жизнь») Je ne me suis pas aperçu d'abord qu'il me tutoyait (я не обратил своего внимания сначала, что он говорит мне "ты";
37. Il m'a dit: «Je savais bien que tu connaissais la vie.» Je ne me suis pas aperçu d'abord qu'il me tutoyait. C'est seulement quand il m'a déclaré: «Maintenant, tu es un vrai copain», que cela m'a frappé. Il a répété sa phrase et j'ai dit: «Oui». Cela m'était égal d'être son copain et il avait vraiment l'air d'en avoir envie. Il a cacheté la lettre et nous avons fini le vin.
38. Puis nous sommes restés un moment à fumer sans rien dire (потом мы остались на минуту покурить = некоторое время курили, ничего не говоря). Au-dehors, tout était calme, nous avons entendu le glissement d'une auto qui passait (на улице все было тихо, мы услышали скольжение автомобиля, который проехал;
38. Puis nous sommes restés un moment à fumer sans rien dire. Au-dehors, tout était calme, nous avons entendu le glissement d'une auto qui passait. J'ai dit: «II est tard.» Raymond le pensait aussi. Il a remarqué que le temps passait vite et, dans un sens, c'était vrai. J'avais sommeil, mais j'avais de la peine à me lever.
39. J'ai dû avoir l'air fatigué parce que Raymond m'a dit qu'il ne fallait pas se laisser aller (я, должно быть, имел усталый вид, так как Раймон мне сказал, что не следует поддаваться