Simon le saisit à deux mains aux cheveux
(Симон схватил его обеими руками за волосы; main, f; cheveu, m) et se mit à lui cribler les jambes de coups de pieds (и принялся пинать его по ногам; cribler – просеивать; изрешетить; cribler de coups – осыпать ударами; coup, m de pied – пинок: «удар ноги»; pied, m – нога, ступня; jambe, f – нога/от колена до ступни/; /разг./ целиком) pendant qu’il lui mordait la joue cruellement (кусая его со всей силы за щеку; mordre – кусать; cruellement – жестоко, беспощадно). Il se fit une bousculade énorme (началась: «сделалась» толкотня; énorme – огромный).L’un, tout à coup, qui se trouvait contre Simon, lui tira la langue d’un air narquois et lui cria :
– Pas de papa! pas de papa !
Simon le saisit à deux mains aux cheveux et se mit à lui cribler les jambes de coups de pieds pendant qu’il lui mordait la joue cruellement. Il se fit une bousculade énorme.
Les deux combattants furent séparés
(дравшихся разняли; combattant, m – воин; /разг./ драчун; дерущийся; combattre – сражаться, драться; séparer – отделять; разнимать), et Simon se trouva frappé, déchiré, meurtri (и Симон оказался пораженным, в разодранной одежде, побитым = в синяках; frapper – бить, ударять; déchiré – рваный, разорванный; déchirer – рвать, разрывать; meurtri), roulé par terre, au milieu du cercle des galopins qui applaudissaient (лежащим на земле внутри круга аплодирующих проказников; se rouler – поворачиваться, ворочаться, вертеться; кататься /по траве, земле/; au milieu – посреди; milieu, m – середина; applaudir). Comme il se relevait (когда он поднимался; se relever – подниматься; вставать на ноги), en nettoyant machinalement avec sa main sa petite blouse toute sale de poussière (машинально отряхивая рукой свою блузу, которая была вся в пыли: «совершенно грязную от пыли»; nettoyer – чистить, очищать; poussière, f), quelqu’un lui cria (кто-то крикнул ему):– Va le dire à ton papa
(иди расскажи папе).Les deux combattants furent séparés, et Simon se trouva frappé, déchiré, meurtri, roulé par terre, au milieu du cercle des galopins qui applaudissaient. Comme il se relevait, en nettoyant machinalement avec sa main sa petite blouse toute sale de poussière, quelqu’un lui cria :
– Va le dire à ton papa.