Entre Hanau et Francfort notre carabas qui se traînait est croisé par un cabriolet. En y jetant les yeux, j’aperçois une dame, toute en noir, qui en passant à côté de nous porte son lorgnon à l’œil… C’était l’affaire d’un instant, mais cet instant avait suffi pour me faire reconnaître, dont cet inimitable mouvement du lorgnon appliqué — Madame de Cetto*
— et ce qui complète pour moi la révélation, c’est que le Brochet m’a dit spontanément qu’il était sûr d’avoir reconnu le fidèle