Merci, ma fille chérie, de votre bonne lettre qui m’a fait grand plaisir. J’espère que celle-ci t’arrivera à point nommé pour te souhaiter la bienvenue à Moscou. — Et moi aussi j’ai ressenti comme une fâcheuse privation ton absence de Moscou pendant les deux mois de séjour que j’y ai fait*
et qui m’ont laissé un très bon souvenir, un souvenir lumineux en dépit du mauvais temps. J’y ai été témoin de quelque chose, à quoi on ne saurait contester une signification historique. C’est l’accueil fait par l’opinion aux dépêches du P