Les vieux descendirent à Motteville, avec leur panier, leurs canards et leur parapluie; et l'on entendit la femme dire à son homme en s'éloignant: «C'est des traînées qui s'en vont encore à ce satané Paris.»
Les deux paysans, figés dans l'ahurissement
(крестьянская чета, оцепенев от изумления;Les vieux descendirent à Motteville
(старики сошли в Мотвиле), avec leur panier, leurs canards et leur parapluie (со своей корзиной, утками и зонтом); et l'on entendit la femme dire à son homme en s'éloignant (слышно было, как женщина говорила мужу, удаляясь) «C'est des traînées qui s'en vont encore à ce satané Paris.» (несет же в этот чертов Париж /всяких/ потаскух;Les deux paysans, figés dans l'ahurissement, regardaient de côté, d'un seul oeil; et ils ressemblaient si absolument à des poulets que l'homme aux favoris blonds, en se relevant, leur fit dans le nez «Co-co-ri-co». Ce qui déchaîna de nouveau un ouragan de gaieté.
Les vieux descendirent à Motteville, avec leur panier, leurs canards et leur parapluie; et l'on entendit la femme dire à son homme en s'éloignant: «C'est des traînées qui s'en vont encore à ce satané Paris.»
Le plaisant commis Porteballe descendit lui-même à Rouen, après s'être montré si grossier que Madame se vit obligée de le remettre vertement à sa place. Elle ajouta, comme morale: «Ça nous apprendra à causer au premier venu.»
A Oissel, elles changèrent de train, et trouvèrent à une gare suivante M. Joseph Rivet qui les attendait avec une grande charrette pleine de chaises et attelée d'un cheval blanc.
Le plaisant commis Porteballe
(забавник-коммивояжер;A Oissel, elles changèrent de train
(в Уасселе у них была пересадка: «они поменяли поезд»), et trouvèrent à une gare suivante M. Joseph Rivet (и на следующей станции они нашли г-на Жозефа Риве) qui les attendait avec une grande charrette (он ожидал их с большой повозкой) pleine de chaises (уставленной стульями) et attelée d'un cheval blanc (и запряженной белой лошадью).Le plaisant commis Porteballe descendit lui-même à Rouen, après s'être montré si grossier que Madame se vit obligée de le remettre vertement à sa place. Elle ajouta, comme morale: «Ça nous apprendra à causer au premier venu.»
A Oissel, elles changèrent de train, et trouvèrent à une gare suivante M. Joseph Rivet qui les attendait avec une grande charrette pleine de chaises et attelée d'un cheval blanc.