Un jour assis sur le rivage,Bénissant un ciel pur et doux,Plaignez les marins que l’orageA fatigués de son courroux.N’ont-ils pas droit à quelque estimeCeux qui, las d’un si long effort,Près de s’engloutir dans l’abîmeDu doigt vous indiquaient le port?Béranger [300]