Читаем ПСС. Том 24. Произведения 1880-1884 гг. полностью

(Et il entra dans une maison, et la foule l'y suivit au point qu'il ne pouvait prendre son repas). Alors ses proches apprenant tout ce qu'il disait vinrent pour le prendre et l'emmener car on disait qu'il 'etait fou. Marc III, 21.

Mais J['esus] ne se livra pas et alla ailleu[rs]. Et les Juifs poursuivaient J['esus] et cherchaient `a le faire mourir. J. V, 16.

Et les savants venus de J'erusalem disaient: «il pr^eche le mal. Puisque ce n'est que par le mal qu'il d'etruit le mal». — Alors J['esus] leur dit: Si vous dites que c'est par le mal que je d'etruis le mal, vous dites un non — sens. L'ennemi ne peut pas d'etruire l'ennemi. Si quelqu'un d'etruit mon ennemi il n'est plus mon ennemi mais mon ami. Ou bien: Si l'ennemi d'etruit l'ennemi il se d'etruit lui — m^eme. Et si vous d'etruisez votre ennemi vous ne pouvez dire que ce pouvoir soit un mal. Si donc je d'etruis le mal cela ne peut ^etre que par le bien, l'esprit de Dieu. Et si je d'etruis le mal par l'Esprit de Dieu, l'esprit de Dieu s'est donc d'ejа manifest'e `a vous. — C'est pourquoi il est impossible d'^etre indiff'erent `a mon enseignement, il faut ^etre avec moi ou contre moi.

Il faut ^etre cons'equent et si vous dites que le fruit de l'arbre e[s]t mauvais, vous devrez dire que l'arbre l'est de m^eme. Matt. XII, 33.

Celui qui veut donc d'enigrer la source de mon enseignement doit d'enigrer l'esprit de Dieu.

Et le blasph'eme contre l'esprit de Dieu est la seule faute des hommes qui ne peut ^etre pardonn'ee car c'est la r'evolte contre ce qu'il y a de plus saint, la volont'e de Dieu.

Alors quelques uns des savant [s] pharisiens lui dirent: «Dans tous les cas nous voudrions des preuves de ce que tu dis». Matt. XII, 38.

Et J['esus] leur r'epondit: — Les gens demandent une preuve. Les Nin'eviens n'ont pas demand'e de preuves `a Jonas. Il[s] ont vu et entendu Jonas et se sont convertis. Et `a pr'esent quand c'est l'esprit de l'homme qui est plus convaincant que le sermon de Jonas qui le leur dit, ils demandent des preuves. Matt. XII. 38–40. Luc. XI, 29–32.

Et les juifs poursuivaient J['esus] et cherchaient `a le faire mourir. J. V, 16.

Et J['esus] dit: (Ma doctrine n'est pas de moi mais de celui qui m'a donn'e la vie. J. VII, 16).

(Si quelqu'un veut faire la volont'e de Dieu, il reconnaоtra si ma doctrine e[s]t de Dieu ou si je parle de mon chef. — [J. VII,] 17.

Celui qui parle de son chef dit ce que lui paraоt juste, `a lui seul; mais celui qui dit ce qui est la volont'e du P'ere de tous les hommes parle de ce que connaissent tous les hommes. J. [VII,] 18.

Mo"ise v[ou]s a donn'e une loi qu'il est impossible de suivre et v[ou]s ne [le] suivez pas et moi je v[ou]s donne une loi qui est 'ecrite dans vos consciences et v[ou]s voulez me faire mourir. J. VII, 19.)

Le peuple lui dit: alors tu es poss'ed'e du d'emon. J. VII, 20.

(Et les orthodoxes lui dirent: «Tu rends t'emoignage de toi m^eme, ton t'emoignage n'est pas v'eritable». [J.] VIII, 13.

Et J'esus dit: Il est 'ecrit dans votre loi que le t'emoignage de deux hommes est digne de foi. Eh bien, c'est moi qui rend t'emoignage de moi et le P'ere qui a donn'e la vie `a tous les hommes me rend t'emoignage dans la conscience de tous les hommes. J. VIII, 17, 18.

Alors ils lui dirent: «Toi, qui es — tu?» Et J['esus] dit: je suis ce que je vous dis, ce que je v[ou]s enseigne. — [J. VIII, 25,] 26.

Lorsque v[ou]s aurez 'elev'e la conscience de l'homme vous connaоtrez ce que je suis vous saurez que je ne fais et ne dis que ce qui est la volont'e du P'ere. [J. VIII,] 28.

Je ne suis pas seul puisque je fais la volont'e du P'ere de tous. 29.

Si vous accomplissez ma doctrine, vous serez avec moi f J. VIII,} 31) et v[ou]s connaоtrez la v'erit'e. Et la v'erit'e v[ou]s rendra libres. Vous ne l'^etes pas, car v[ou]s ^etes esclaves du mensonge, ce n'est que la conscience de sa d'ependance du P'ere qui peut vous affranchir. [J. VIII, 32–34.]

Et les juifs dirent: «N'avons nous pas raison de dire que c'est un Samaritain et qu'il est poss'ed'e du d'emon?» J. VIII, 48.

Et J['esus] dit: Je ne suis pas poss'ed'e du d'emon et je ne veux faire de mal et tuer personne, mai[s] vous vous appelez enfants d'Abraham et (cependant v[ou]s) ^etes (esclaves du mensonge). Vous voulez me faire mourir, moi qui ne v[ou]s ai dit que la v'erit'e. J. VIII, 39, 40, 49.

Vous le faites parce que v[ou]s ne connaissez [pas] le P'ere v'eritable de tous les homme[s], vous servez votre p'ere `a vous, qui est le mensonge — le d'emon. [J. VIII, 44.]

Alors J['esus] dit: Le mensonge ne donne pas la vie, il n'est que la v'erit'e qui la donne. Je v[ou]s le dis: celui qui croit `a ma doctrine, `a l'esprit du P'ere qu'il poss'ede en lui, aura la vie v'eritable. J. V, 24.

Et le tem[p]s est venu pour ceux qui ne connaissai[en]t pas le vrai et 'etaient comme des morts; [ils] entendront la voix du fils de Dieu qui est l'esprit de Dieu et que, l'ayant entendue, ils vivront de la vie v'eritable. [J. V,] 25.

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