Читаем ПСС. Том 24. Произведения 1880-1884 гг. полностью

Sondez les 'ecritures, qui v[ou]s parle[nt] de la vie, elles ne disent que cela. [J. V,] 39. Vous ne me croyez pas parce que vous croyez `a la tradition, `a ce que vous vous dites entre vous et vous ne cherchez pas `a entendre ce que v[ou]s dit `a tous votre P'ere — l'Esprit [J. V,] 44. Mais le P'ere ne cesse jamais de parler `a vos consciences. [J.] V, 17. En v'erit'e je v[ou]s dis que le fils — l'esprit de Dieu dans l'homme — ne peut rien faire de lui — m^eme et peut tout lorsqu'il fait ce que veut son P'ere. [J. V,] 19, 20.

Le P'ere ne condamne pas les hommes `a la mort mais il leur donne la possibilit'e d''eviter la mort et d'avoir la vie [J.V, 21,] 22.

Car comme le P'ere a la vie en lui — m^eme, il a donn'e aussi au fils, `a l'esprit de l'homme, la vie en lui — m^eme. [J. V,] 26.

Et il lui a donn'e la facult'e de choisir entre la vie et la mort et de ressu[s]citer des morts. [J. V,] 27, 28.

(Dans cette vie un homme peut ^etre mort et revenir `a la vie rien qu'en cessant de croire au[x] choses du dehors pour conserver sa vie et en suivant la volont'e du P'ere.)

L'homme qui cherche sa vie dans les choses du dehors et mat'erielles est un homme qui n'a pas la vie. Le m^eme homme, d'es qu'il connaоt la source de la vie qui est l'esprit de son P'ere qu'il a en lui, revient `a la vie et ressu[s]cite des morts. Celui qui veut conserver sa vie la perd. Matt. XVI, 25.

Et en parlant ainsi [2 нераcобр.] J['esus] s'approcha de la porte des br'ebis o`u il y avait un r'eservoir d'eau miraculeuse. Les gens s'imaginaient que lorsque l'eau se mettait en mouvement c''etait un ange qui descendait du ciel et que celui qui se baignerait le premier apr'es le mouvement de l'eau serait gu'eri de tous ses maux. Et J['esus] apercut un homme qui 'etait couch'e pr'es du r'eservoir et qui y venait depuis 38 ans et ne pouvait attraper le moment propice pour descendre dans le r'eservoir. Alors J['esus] le montra aux Juifs et leur dit: Voilа l'exemple d'un mort qui est dans la vie et qui peut ressu[s]citer par l'esprit. Voyez, cet homme a la force de venir ici depuis 38 ans, il a la force de descendre vers le r'eservoir, mais il est comme un mort: il n' a pas la vie m^eme dans le sens ordinaire. Il perd sa vie parce qu'il est dans le mensonge et attend son salut du dehors et ne connaоt pas la v'erit'e de la force de l'esprit qui est en lui. S'il en a conscience il sera ressu[s]cit'e et il vivra. Et alors J['esus] dit au malade: Ne crois pas au[x] miracles de la gu'erison qui te viendra du dehors. Ne te tromp[e] plus, l'eve — toi et emploie les forces que tu as `a vivre mais pas `a conserver ta vie. Et le malade crut `a J['esus], se leva et se sentit revivre. C'est ainsi que doivent ressusciter tous ceux qui croient que la vie d'epend des choses du dehors et ne connaissent la v'eritable source de la vie qui est l'esprit de l'homme et soumis `a la volont'e du P'ere. [J. V, 2—14.] Et J['esus] dit: La mani'ere dont les hommes disposent de la facult'e de vivre qui leur est accord'e[e] par leur P'ere e[s]t pareille `a ceci:

Un propri'etaire donne `a ses serviteurs une partie de son tr'esor avec la condition que chacun d'eux travaille pour augmenter le tr'esor. Le propri'etaire ne dirige pas ses serviteurs, mais les laisse faire chacun comme il l'entend. Les uns ob'eissent au maоtre et tra[vaillent] et augmentent le tr'esor, les autres l'enfouissent en terre sous pr'etexte de ne pas vouloir le perdre. Le Maоtre fait rendre compte aux serviteurs de ce qu'ils ont fait et il dit `a ceux qui ont augment'e le tr'esor: Tu as fait ce que je voulais, participe `a tout ce que je poss'ede; mais `a celui qui a enfoui le tr'esor et ne l'a point augment'e, il dit: «Tu n[e] l'appr'eciais pas, rends le donc `a celui qui l'ap[p]r'ecie et disparais. Je n'ai pas besoin de toi. Le tr'esor pr'ecieux du maоtre c'est le tr'esor de la vie — l'espr[it] 'emanant du P'ere. Quiconque rem[p]lit la volont'e du P'ere se r'eunit au P'ere de la vie, celui qui remplit sa volont'e personnelle, contraire `a la volont'e de Dieu, e[s]t d'epouill'e m^eme de la part de l'esprit qu'il poss'edait. Luc. XIX, 11–27.

Chapitre VII (DONNE NOUS LA NOURRITURE ESSENTIELLE DE LA VIE)

La vie n'est pas soutenu par la mati'ere; mais par l'accomplissement de la volont'e de Dieu.

(Et J['esus] dit: celui qui voudra conserver sa vie mat'erielle perdra la vie v'eritable et celui qui sacrifiera sa vie person[n]elle `a la vie v'eritable conservera la vie. Matt. XVI, 25.)

Les soucis de la vie mat'eri[e]lle sont inutiles, la vie et la mort temporelles ne d'ependent pas de nous.

Le p'ere donne la vie `a tout.

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