"Du coup Voldemort est allé chez Barjow et Beurk, et tout les professeurs qui l'avait admiré dirent que c'était du gâchi,lui, un jeune magicien si brillant, travailler dans un magasin. Cependant, Voldemort n'était pas seulement un employé. Poli, beau et intelligent, il s'est bientôt vu confié des travaux particuliers comme il y en a seulement dans un endroit comme Barjow et Beurk, qui est spécialisé, comme tu le sais, Harry, dans les objets aux propriétés peu communes et puissantes. Voldemort était délégué pour persuader des personnes de vendre leurs trésors aux associés, et il était, de toute évidence, exceptionnellement doués pour cette tâche."
"Je parierai qu'il était !" acquiessa Harry, incapable de se contenir.
"Oui, tout à fait !" dit Dumbledore, avec un petit sourire. "Et maintenant il est temps d'entendre le souvenir de Hokey, l'elfe de maison, qui travaillait pour une très vieille sorcière très riche du nom de Hepzibah Smith."
Dumbledore tapa la bouteille avec sa baguette, le bouchon s'envola, et il versa la mémoire tourbillonnante dans la pensine, tout en disant "après toi!"
Harry se leva et une nouvelle fois se pencha sur le liquide argenté contenu dans le bassin jusqu'à ce que son visage le touche. Il tomba dans l'obscure néant et débarqua dans un salon devant une vieille dame, énorme, portant une perruque raffinée de gingembre et une robe longue, rose et brillante s'étalant tout autour d'elle, lui donnant l'air d'un gâteau. Elle se regardait dans un petit miroir, orné de pierreries et se tamponnait ses joues écarlates ave un far, dans un grand nuage de poudre, alors que l'elfe de maison, le plus minuscule et le plus vieux que Harry ait jamais vu lui laçait ses pieds charnus dans des chaussons de satin.
" Hâte-toi, Hokey !" commanda Hepzibah "Il a dit qu'il venait à quatre heures. Il ne reste que deux minutes et il n'est jamais en retard "
Elle referma son étui à poudre pendant que l'elfe de maison se relevait. Le haut de sa tête atteignait à peine l'assise de la chaise de Hepzibah, et sa peau de papyrus pendait sur ses os comme une toile croquante qu'elle portait drapé comme un toge.
"Comment je suis ?" demanda Hepzibah, tournant sa tête pour admirer les divers angles de son visage dans le miroir.
"Belle, Madame !" grinça Hokey.
Harry pourrait seulement supposer que c'était en petits caractère dans le contrat de Hokey qu'elle devait cette réponse à cette question, parce que Hepzibah Smith était loin d'être belle à son avis.
Une sonnette retentit et la maîtresse comme l'elfe sursautèrent.
"Vite, vite, il est ici, Hokey!" pleurnicha Hepzibah et l'elfe se précipita hors de la pièce, qui était si pleine d'objets qu'il était difficile d'imaginer quiconque se déplacer sans se cogner au moins sur une douzaine d'entre eux.
Il y avait des meubles couverts de boîtes laquées, des caisses complètement de livres dorés en reliefs, des étagères remplies de formes rondes et des globes célestes, et beaucoup de plantes s'épanouissant dans des récipients en laiton. En fait, la pièce semblait être le croisement d'un magasin d'antiquités magiques et d'un musée.
L'elfe de maison revint au bout de cinq minutes, suivie par un grand jeune homme que Harry n'eut aucune difficulté à identifier comme Voldemort. Il était simplement habillé d'un costume noir, ses cheveux étaient un peu plus longs qu'ils avaient été à l'école et ses joues s'étaient creusées, mais tout cela lui allait très bien. Il semblait plus beau que jamais.
Il se fraya un chemin à travers la pièce d'un air qui indiquait qu'il avait visité cet endroit de nombreuses fois auparavavant et se pencha sur la petit main grasse de Hepzibah, en l'effleurant des lèvres.
"Je vous ai apporté des fleurs." dit-il tranquillement, produisant un bouquet de roses du néant.
" Vous êtes un vilain garçon, vous ne devriez pas !" couina la vieille Hepzibah, bien que Harry ait remarqué qu'il y avait un vase vide se tenir prêt sur la petite table la plus proche. "Vous fatiguez cette vieille dame, Tom....
Asseyez-vous, asseyez-vous. . . Où Est Hokey ? Ah..."
L'elfe de maison se précipita de nouveau dans la salle en portant un plateau de petits gâteaux, qu'elle plaça à portée de main de sa maîtresse.
"Servez-vous vous-même, Tom ! Je sais que vous aimez mes gâteaux. Et maintenant, comment allez-vous ? Vous semblez pâle. Ils vous exploitent dans ce magasin, je l'ai dit cent fois… "
Voldemort sourit mécaniquement et Hepzibah minauda.
"Bon, quelle est votre excuse pour me rendre visite cette fois-ci ?"
damanda-t-elle en secouant ses cheveux.
"Mr Burke voudrait vous faire une meilleure proposition pour l'armure des gobelins. Cinq cents Gallions, il semble que ce soit plus que suffisant…"
"Attends, attends, pas si vite, ou je penserai que tu es seulement ici pour mes bibelots!" bouda Hepzibah.
"Je suis envoyé ici à cause d'eux." dit Voldemort tranquillement "Je ne suis qu'un pauvre aide, Madame, qui doit faire ce qu'on lui dit. Mr Burke a souhaité que je vienne m'enquérir…"